Histoire des communes - Fiche personnalité

Personnalité

  • Ambroise Célestin LANGLAIS dit CHAMPALU

  • Naissance : 1866

  • Décès : 1942

  • Profession : Fabricant de balais

  • 1 activité


Ambroise Célestin LANGLAIS dit CHAMPALU

 

CHAMPALU !

Un personnage unique dont les Vendômois de souche se souviennent encore. Né à Busloup, CHAMPALU vécut à Vendôme vers 1925 jusqu'en 1942. Homme libre, il était fier de ne rien devoir à la société, vivait de la fabrication de balais de bouleau, de rapines dans les champs et les vergers, et de lapins de garenne...

Il était un homme gai, chantant tout le temps. De passage dans les foyers de Vendôme et dans les fermes alentours, il acceptait volontiers un verre de vin, accompagné de biscuits

Pour les petits Vendômois c'était le père Fouettard local, malgré lui. Avec sa barbe hirsute, sa grosse moustache, son vieux chapeau de feutre, ses guêtres de cuir et ses molletières de chiffons, Champalu faisait peur aux enfants. Il devint ainsi, lui qui était totalement inoffensif, un allié de choix pour les parents en mal d'autorité sur leur progéniture. Nombreux sont les Vendômois d'un certain âge à se souvenir d'avoir entendu leur mère ou leur père menacer "d'appeler Champalu ".

Un clochard par Jean Francois Raffaelli

Marchand ambulant, ermite, marginal... Champalu était tout cela à la fois et sûrement autre chose. Entre 1925 et 1940, il vendait des balais de bouleau qu'il fabriquait lui-même.

Ambroise Langlais alias Champalu, est né le 13 novembre 1866 à Busloup (41). Il est décédé le 4 novembre 1942, au 34 avenue du Maréchal Maunoury à Blois, adresse à l'époque de l'asile départemental, fermé en 1943. Il y avait été transféré après auparavant avoir été hospitalisé à Vendôme

Pourquoi est-il parti de Busloup où il avait, paraît-il, femme et enfants (dixit M. Paul Dujardin *), et qu'est-ce donc qui l'a poussé à mener ainsi une existence d'homme des bois ? C'est encore un mystère.

En 1925, il trouva refuge à Vendôme dans une maison abandonnée en lisière de bois des Fontaines, au lieu-dit "La Grande Taphorie". Il y vivait seul. L'hiver, il se chauffait de bois mort. Il recueillait l'eau de pluie dans des boîtes de conserve qu'il alignait sur le sol sous la saillie des ardoises. Il allait vendre ses balais de bouleau en ville et dans les fermes environnantes. Sa journée terminée, il rentrait chez lui avec un pain de quatre livres accroché à la place de sa marchandise. Gai, chantonnant constamment, il était accepté (intégré dirions-nous aujourd'hui) par la population malgré sa différence.

Le témoignage suivant de Ginette Cormier, Vendômoise, date de 1982

" Il avait été autrefois menuisier et en parlait quelquefois ; chaque année, il apportait un bouquet de muguet à ma mère, au premier mai, et on lui servait un verre de vin rouge sur l'appui de la fenêtre. on ne le faisait pas entrer. " Le père Ambroise ", comme on l'appelait, n'était point sot, il lui arrivait même de faire état de ses solides connaissances mais ses grands gestes et ses cris dans la rue effrayaient les enfants. "

Au fil des ans, Champalu devint à sa manière une "vedette locale". Un mécanicien, Fernand Mottu, immortalisa dans une figurine en bois sa silhouette si caractéristique, avec ses balais comme des trophées de chasse et son sac en bandoulière. Cette figurine valut à son auteur une cinquantaine de commandes dont certains exemplaires existent encore. Quelques années plus tard, en 1936, Champalu figura parmi les personnages d'une revue vendômoise, créée par un chansonnier qui s'appelait M. Herpin et était maraîcher de son métier. (NR du 13/10/1996)

Champalu par Paul Dujardin

Paul Dujardin a connu Champalu très longtemps. Sa mémoire regorge d'anecdotes le concernant. "Je l'ai connu de ma petite enfance à l'âge adulte. Je suis allé plusieurs fois aux champignons avec lui. Il avait une figure d'épouvantail à moineaux. Il était toujours affublé de vieux vêtements. Il portait des jambières en toile de sac, serrées en haut par de la ficelle. Il était petit. Et sa petitesse était accentuée par le fait qu'il marchait les jambes repliées comme s'il était chargé d'un fardeau. Il avait une tête à la Henri IV, avec une barbe qui repiquait. Si Henri IV avait vieilli, il aurait ressemblé à Champalu. L'été, il se faisait des cahutes en branchages dans la forêt. J'en ai vu certaines. Il n'allait pas de maison en maison. Il avait des acheteurs et des commandes. Il avait aussi une clientèle pour le gui et le houx au moment de Noël. C'était vraiment ce qu'on appelait à l'époque un chemineau. Il faisait ce qui lui plaisait.

Il vivait beaucoup de cueillette. Ce n'était pas un braconnier de métier, mais il le faisait à des fins personnelles. On le craignait car il avait des réactions imprévisibles. Il était bien perçu de la population. Il faisait partie du décor. Il n'a jamais été inquiété par la police ou la gendarmerie. Jamais il n'aurait demandé 20 sous à quelqu'un. Il inventait des chansons. Il improvisait sur les gens qu'il voyait dans la rue. Il était très moqueur. Il allait chez la mère Louste, place Saint-Martin, et chez Montébraud, le débit de tabac d'à côté, acheter un cigare bagué. Il buvait un petit rhum ou deux, mais il ne se saoulait pas. "

L'hospitalisation

Sur les raisons de son hospitalisation au début des annés 1940, il existe plusieurs hypothèses.

Selon Paul Dujardin, il aurait été plaçé à l'hôpital hospice de Vendôme par les autorités allemandes. A cette époque, Champalu avait changé, l'aspect particulièrement solitaire et silencieux affirmé. " Ce n'était plus le même. Il avait le regard éteint. Il paraissait déprimé. Je me souviens l'avoir vu faire des huit avec un arrosoir dans la cour de l'hospice. Ca doit être le dernier souvenir que j'ai de lui. "

Gaston Duvallet, lui, avance qu'il avait été poursuivi par des jeunes qui lui avaient jeté du poivre. Et il était pratiquement devenu aveugle. La mère de M. Duvallet s'occupait des vieillards à l'hôpital, dont Champalu. Il le voyait toutes les semaines quand il allait voir sa mère." Il était très gentil, affirme-t-il, passait inaperçu. Il fallait le faire manger car il ne voyait plus rien. "

Michel Hallouin aussi apporte un éclairage intéressant. " Mes parents étaient concierges à l'hôpital. Ma mère faisait la barbe et les cheveux aux anciens. Champalu ne se faisait jamais couper les cheveux ni la barbe. Il était taciturne. Il ne faisait jamais parler de lui. Mais, c'était quelqu'un de fascinant, notamment par l'allure, avec sa grande barbe poivre-et-sel. Il était difficile à percer. Quand je le voyais passer, je m'arrêtais. Mais je ne lui ai jamais parlé. J'ai quitté Vendôme en 1942 et je n'ai plus jamais entendu parler de lui. "

Champalu par Jean Claude Pasquier

Jean-Claude Pasquier, amateur d'histoire locale, secrétaire honoraire de la Société Archélogique de Vendôme raconte ainsi "son" Champalu. " Ce souvenir remonte à l'été 1942, j'avais tout juste 5 ans. Mes parents habitaient 7 rue Lemyre-de-Vilers à Vendôme, dans une maison occupée par plusieurs locataires et dont la cour donnant sur la rue restait ouverte en permanence. Alors que nous dînions, j'étais comme chaque soir réfractaire à la "panade", soupe très épaisse, indigeste, dont ma mère, seule, avait le secret. Certes, les temps étaient durs. Toujours est-il, comme d'habitude, elle devait me "menacer" de tout dire à Champalu si je ne mangeais pas cette "infâme bouillie". Or, coïncidence extraordinaire, au même instant, notre "Père Fouettard" vendômois venait de s'appuyer sur la porte basse donnant dans la cuisine. J'eu - paraît-il- une très grande frayeur. A vrai dire, je ne me souviens que d'une vague silhouette accoudée à la partie basse de notre porte. J'ai su plus tard qu'il venait tout simplement saluer mon père qui, ouvrier en chaussures à l'usine Poisblaud de la rue du Docteur-Faton, lui rendait quelquefois quelques menus service comme lui recoudre sa gibecière ou retaper ses brodequins éculés. Mon père en faisait un bonhomme sympathique, un peu bourru, mais toujours prêt à rendre service. Voilà, personnellement comme j'ai "connu" Champalu. Je ne sais pas si, ce soir-là, j'ai bien mangé ma soupe... En revanche, ce personnage hors du commun pour l'époque, aujourd'hui indissociable de notre histoire locale, m'a toujours intrigué."

Champalu par Lucien Caille

Lucien Caille, agriculteur retraité, se souvient de Champalu lorsqu'il habitait "La grande Taphorie" sur les terres de ses parents, devant l'entrée de la cave du coteau de Lubidet : " Parfois, c'est assis sur ce banc devant cette table de pierre que Champalu préparait des balais ".

"Je devais avoir autour de huit ans mais je me souviens bien de ce marginal que mon père autorisait à habiter dans une vieille maison en haut de la côte de Courtiras. Il travaillait dans les champs quand on avait besoin de lui. D'abord pour ma grande tante Chalopin, puis pour mon père... Je le revois encore fabriquer ses balais parfois installé sur la table de pierre devant l'entrée de la cave de la ferme de l'impasse du Lubidet. Dans la forêt de Vendôme, il ramassait des branches de bouleau ou coupait avec précaution des jeunes pousses et les organisait scrupuleusement pour dormir dessus. Histoire de leur donner une forme pour les redresser ! Ensuite, il liait les branches avec de l'épine et partait en ville pour vendre ses balais. Un travail soigné que les gardes appréciaient sachant que Champalu respectait la forêt et qui lui permettait de se constituer une vraie clientèle... Les parents nous faisaient peur avec ce marginal qui se baladait avec son éternel chapeau. On nous interdisait de nous approcher de Champalu qui pourrait nous emmener dans la forêt. C'était pour nous faire peur de celui qu'ils nous présentaient comme le Père Fouettard. Pourtant, Champalu n'avait rien de dangereux.... D'abord, il était toujours en train de chanter. Et parfois, s'amusait à faire du bruit en tapant avec une boîte de conserve fichée au bout d'un morceau de bois sur un vieux pédalier de vélo qu'il avait enfilé pour se faire un drôle de collier."

"En fait, bien des rumeurs ont circulé sur le bonhomme. Il s'appelait je crois Ambroise et avait été ébéniste à Busloup où il était né. Certains assuraient qu'il avait purgé une peine de prison mais je ne sais pas s'il s'agit de la réalité. En fait, personne ne savait vraiment pourquoi il vivait ainsi. Quand il a disparu en 1942, certains ont cru qu'il avait été pris par les Allemands, d'autres ont affirmé qu'il était mort à l'asile de Blois."

* M. Paul Dujardin, mémoire de la cité de Vendôme, disparu en août 2005, a effectué des recherches sur Ambroise Langlais dit Champalu. Il ne nous est pas parvenu à ce jour de résultats concernant ces recherches.

Ces informations sont tirées du quotidien La Nouvelle République du Centre-Ouest (Loir et Cher, 41) qui chaque année, lors de la semaine commerciale, illustre la vie de Champalu par de nouveaux témoignages sur le bonhomme.

Les Croc'Champalus

C'est le nom choisi par les artisans pâtissiers et boulangers-pâtissiers de Vendôme qui ont imaginé les biscuits contenus dans ce sachet. A travers ce nom, il y a la volonté de rappeler un personnage ayant réellement existé dans la région : Les Croc'champalu que vous trouvez en exclusivité chez les boulangers-pâtissiers et pâtissiers du Vendômois renouent avec cette tradition. Ils sont tous réalisés à partir d'une recette originale spécialement créée par les artisans-fabricants locaux. C'est la certitude de satisfaire la gourmandise de tous "au Pays de CHAMPALU".

Mais Champalu, c'est aussi :
* une randonnée VTT "La Champalu" à Vendôme ( 20, 30 ou 45 Km)
* Une opération commerciale à Vendôme qui consiste à attirer le chaland en ville avec le prétexte de venir voir les sortes d'épouvantails confectionnés par les commerçants ou les écoliers de Vendôme et sensés représenté feu notre ami Champalu. On peut ensuite élire le Champalu que l'on préfère.

Cette fête a lieu début octobre, une semaine durant. Elle existe depuis 1996.

La cabane de Champalu, en ruine et difficile d'accès existe pourtant toujours. Elle pourrait faire l'objet d'une réabilitation dans le cadre de la création d'un chemin piétonnier mais dont la réalisation est lointaine.

Source : la Nouvelle République du Centre (automne 2006)

Ascendance

_____
0001 LANGLAIS Ambroise, dit CHAMPALU ° 13/11/1866 Busloup (41), hameau de Groschêne, † 04/11/1942
_____ Blois (41), marchand de balais.
0002 LANGLAIS Eugène Paul ° 15/01/1839 Busloup (41), journalier,
X 14/04/1863 Busloup (41), avec
_____ RASTIER Anne Octavie ° 24/07/1841 Busloup (41).
0004 LANGLAIS Charles Paul ° 23/03/1810 Busloup (41), † 09/06/1883 Busloup (41), journalier,
X 18/04/1838 Busloup (41), avec
_____ VERRIER Honorine Victoire ° 21/04/1817 Busloup (41), † 11/03/1892 Busloup (41).
0006 RASTIER Claude Mathieu ° 29/09/1806 Busloup (41), † 29/08/1858 Busloup (41),
X 22/12/1829 Busloup (41), avec
_____ BRETON Marie Anne ° 26/07/1809 Busloup (41), † 10/01/1878 Busloup (41).
0008 LANGLAIS ° 05/02/1784 Busloup (41), journalier,
X 25/11/1806 Busloup (41), avec
_____ RENARD Marie Françoise ° 23/12/1782 Busloup, † avant 1838.
0010 VERRIER François ° ca 1768 Busloup (41), † 10/09/1827 Busloup (41), menuisier,
X 4è jour complémentaire an IV Danzé (41), avec
_____ DUMANS Rose ° ca 1777 Danzé (41), † 18/08/1836 Busloup (41).
0012 RATIER Jean-Jacques, laboureur,
X 23/04/1793 Busloup (41), avec
_____ BELUET Marie Catherine.
0014 BRETON Jean Baptiste ° ca 1774 Pezou (41), † 23/08/1845 Busloup (41), cabaretier,
X 12 Vendémiaire an VI Chauvigny-du-Perche (41), avec
_____ DULOIR (DULUARD) Marie Madeleine ° ca 1775 Pezou (41), † 18/05/1858 Pezou (41).
0016 LANGLAIS (LANGLOIS) Marin, terrassier,
X 28/11/1780 Naveil(41), avec
_____ ANGERS Marie.
0018 RENARD Julien, journalier,
X 27/02/1775 Busloup (41), avec
_____ COMMUNEAU Catherine [veuve 1°) BOUTIER Michel].
0020 VERRIER François ° ca 1737 Busloup (41), † 17/10/1827, hameau de l' Écottière, à Busloup (41), menuisier,
X 19/07/1763 La Ville-aux-Clercs (41)
_____ VILAIN Marguerite.
0022 DUMANS Pierre
X 16/02/1773 Danzé (41), avec
_____ DAYE Rose Catherine.
0024 RATIER Jean, laboureur
X 11/09/1759 Busloup (41), avec
_____ PELLETIER Madeleine.
0026 BELUET Louis, journalier
X avec
_____ LASNE Anne.
0028 BRETON Jean René ° Pezou (41)
X 31/04/1774 Chauvigny-du-Perche (41), avec
_____ DORÉ Marguerite.
0030 DULUARD Pierre ° Joué-L'Abbé (72), journalier
X 22/08/1769 Chauvigny-du-Perche (41), avec
_____ DAVID Madeleine Suzanne.
0032 LANGLOIS Gilles
X 28/08/1741 Les Ressuintes (28), avec
_____ DUGUÉ Françoise.
0034 ANGERS (ANGER) Pierre, vigneron,
X 25/09/1747 Naveil (41), avec
_____ BESNARD Madeleine.
0036 RENARD François
X 05/04/1742 Espereuse-Rahart (41), avec
_____ GANNE Renée.
0038 COMMUNEAU Pierre
X 04/08/1744 Busloup (41), avec
_____ BECQUEREAU Anne [veuve 1°) BODINEAU Mathurin].
0040 VERRIER François
X 10/07/1736 La Ville-aux-Clercs (41), avec
_____ JUSTEAU Jeanne.
0042 VILAIN Charles
X 16/07/1743 La Ville-aux-Clercs (41), avec
_____ RAGUENEAU Marguerite.
0044 DUMANS Pierre [veuf 1°) GAUTIER Renée]
X 01/09/1738 Danzé (41), avec
_____ DROUET Marguerite.
0046 DAYE Marin
X 25/02/1743 Danzé (41), avec
_____ BARRÉ Catherine.
0048 RATIER Louis
X 27/07/1735 Busloup (41), avec
_____ TAREAU (TAROT) Madeleine[veuve CHEVEREAU François].
0050 PELTIER Barthélémy
X 28/11/1719 Busloup (41), avec
_____ MONY Marie.
0056 BRETON René
X 06/02/1745 Pezou (41), avec
_____ DUGUÉ Anne.
0058 DORÉ Jean-Jacques
X 19/02/1734 Chauvigny-du-Perche (41), avec
_____ GAULTIER Marie Jeanne.
0060 DULUARD François, bordager
X 26/11/1743 La Bazouge (72), avec
_____ GYPTEAU Cécile.
0062 DAVID François
X 19/06/1725 Chauvigny-du-Perche (41), avec
_____ GAUTIER Renée.
0064 LANGLOIS Michel
X 08/02/1712 Les Ressuintes (28), avec
_____ BAILLON Elisabeth.
0066 DUGUÉ Pierre
X avec
_____ DOUGET Françoise.
0068 ANGER Pierre
X 09/07/1716 Villiers-sur-Loir (41), avec
_____ RIVIÈRE Françoise.
0070 BESNARD Georges
X 19/01/1722 Naveil (41), avec
_____ DROUIN Renée.
0072 RENARD Michel
29/01/1714 Espereuse-Rahart (41), avec
_____ MOUSSU Marie Françoise.
0074 GANNE François, laboureur,
X avec
_____ RAGUIN Renée.
0076 COMMUNEAU Jean-Jacques
X avec
_____ VIGNON Françoise.
0078 BECQUEREAU Michel
X avec
_____ BODIN Anne
0080 VERRIER Sébastien
X 17/01/1708 Chauvigny-du-Perche (41), avec
_____ HAUDEBERT Marie.
0082 JUSTEAU Nicolas
X 23/07/1704 Le Rouillis (41), avec
_____ DORÉ Madeleine.
0084 VILAIN Charles
X 30/06/1716 Boursay (41), avec
_____ PASQUIER Marie.
0086 RAGUENEAU Pierre
X 13/11/1725 Villiers-sur-Loir (41), avec
_____ CHEVALIER Marguerite.
0088 DUMANS Michel
X 12/07/1688 Chauvigny-sur-Perche (41), avec
_____ NEVEU Marie.
0090 DROUET Pierre
22/07/1698 Pezou (41), avec
_____ FLEURY Jeanne.
0092 DAY (DAYE) Nicolas
X 06/02/1703 Champigny-en-Beauce (41), avec
_____ PALGE Angélique.
0094 DESRATS Mathurin
X 05/11/1695 Danzé (41), avec
_____ PÉZIÈRE Catherine.
0098 TAROT Denis
X avec
_____ BORDEAU Madeleine.
0102 MAUNY Jean-Jacques
X avec
_____ CHAUFOURNEAU Julienne.
0112 BRETON René
X avec
_____ DROUIN Catherine.
0114 DUGUÉ Jean-Jacques
X 16/06/1722 Pezou (41), avec
_____ DENIAU Anne.
0116 DORÉ Mathieu
X 06/05/1709 Chauvigny-du-Perche (41), avec
_____ BADAIRE Marguerite.
0118 GAULTIER Marin
X 22/07/1698 Chauvigny-du-Perche (41), avec
_____ COMMUNEAU Marguerite.
0120 DULUARD François, vigneron,
X 11/06/1693 Sargé-lès-le-Mans (72), avec
_____ BOUTTIER Marie.
0122 GYPTEAU Thomas
X 08/05/1719 La Milesse (72), avec
_____ BLIN Cécile.
0124 DAVID François
X 11/01/1678 Ruan-sur-Egvonne (41), avec
_____ DORON Catherine.
0126 GAUTIER Louis
22/01/1686 Chauvigny-du-Perche (41), avec
DUMANS Pasquière.


Source : La Nouvelle République

Saisie : Brigitte GONDOUIN

Dernière modification : 10 Août 2014