Histoire des communes

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Hanches

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Hanches, village de 2084 habitants, est situé aux limites communales à 1 km 500 au Sud-Ouest d'Epernon , à 4 km 445 Est-Nord-Est de Maintenon et 17 km 800 Nord-Nord-Est de Chartres, latitude 18°36’11’’ Nord et longitude 01°38’52’’Est.

Administrativement, il appartient au canton de Maintenon (desservi par la gare d'Epernon, sur la ligne de Paris à Brest, via Chartres et Le Mans). On peut également rejoindre Hanches par la C.D.328, venant de Rambouillet, par la vallée de la Guéville. Ce chemin départemental - ancienne route nationale et impériale de Paris à Bayonne - dessert Maintenon et Chartres par la vallée de l'Eure.

Ce village regroupe plusieurs unités topographiques bien distinctes, avec la vallée de la Drouette caractérisée par un fond de vallée large d'environ 110 mètres et des versants assez doux (Vinerville - La Billardière - Le Pâty - La Barre de Hanches - Le val des Granges), une zone de replat située à 130 mètres dominant la vallée et, la zone de buttes allongées (Beau Regard - La Haute Terre) qui sont orientées Nord-Ouest de Hanches ; la première au Nord de la commune à 164 mètres (La Tourneuve, dite de "Butte Lormière") avec prolongement au Nord-Ouest ; la seconde au Sud, légèrement moins haute dites "Buttes de Gallardon" et des "Déserts du Rocher" à 158 mètres (Le Bois de Fourches, le Rocher).

Des deux côtés de la vallée, nous apercevons un vaste horizon, le bourg et les hameaux environnants. Hanches aurait-il été le pays idéal pour nos ancêtres du fait qu'ils y trouvaient tout ce qui est nécessaire à la vie : rivières, prairies, bois, carrières, taillis et vignes, établissant un contraste avec les immenses plaines de Beauce. La quantité dénombrée d'églises et de chapelles confirme l'importance de la religion catholique dans la région.

Aujourd'hui, la commune a une superficie de 1606 hectares, alors qu'elle était de 1361 hectares en 1825, avant les échanges avec Epernon. Les habitants de Hanches sont les Hanchois et Hanchoises.

Nom, origine, Histoire générale

L’histoire de notre village commence au temps des Celtes et des Gaulois. Deux villes Génabum (Orléans) et Autricum (Chartres) se partageaient la suprématie du pays des Carnutes ; ces peuples gaulois qui durant le règne de Tarquin (616 à 579 avant J.C.) franchirent les Alpes sous la conduite de Bellovèse et allèrent s'établir en Italie où ils créèrent les villes de la Gaule Cisalpine. Jules César (101 à 44 avant J.C.) dit dans ses commentaires, que de son temps, les Carnutes étaient un des peuples les plus belliqueux de la gaule Celtique. Ils opposèrent une grande résistance à la conquête romaine et furent les derniers à se soumettre.

Génabum (Orléans), la ville commerçante, et Autricum (Chartres), la ville religieuse, n'étaient pas rivales et avaient chacune leur royauté particulière. Tandis que, favorisés par la Loire, les marchands de Génabum trafiquaient, protégés par le mystère de la forêt Carnute, les prêtres d'Autricum dirigeaient la nation. C'est d'Autricum que partit le signal de la dernière révolte de la Gaule appelé à résister à la conquête romaine. Génabum, la cité riche, alors occupée par les marchands romains qui avaient confisqué à leur profit tous les commerces florissants de la ville, fut emportée de force par les Gaulois. Mais les Carnutes n'étaient pas assez puissants pour lutter longtemps contre les légions romaines et les peuplades gauloises étaient trop divisées entre elles, trop jalouses les unes des autres, pour que cette tentative suprême put être couronnée d'un succès durable.

Les deux cités, métropoles du pays Carnute, perdirent jusqu'à leurs noms : Genabum ruiné, ne se releva que sous l’empereur romain Aurélien (217-275) qui lui imposa son nom ; Autricum disparut aussi complètement. Le souvenir seul de la peuplade se perpétua dans l'appellation de la Carnotum nouvelle.

Après avoir traversé les grandes étendues forestières du Nord du Bassin Parisien, en direction de Autricum (Chartres), ces ancêtres gaulois arrivaient à Austricht, le futur Epernon, en Germain Sparren-no (du celtique, no et son dérivé noa signifiant : canal, fossé, pour l'écoulement des eaux, terrain marécageux recevant les eaux des collines voisines, donnant en latin : sparno, Sparnon, Sparnacum, Sparnaicum « signifiant : Lieu couvert de buissons d'épines »).

Ce village ou ce hameau qui aurait précédé Epernon, aurait appartenu au territoire de Hanches. Ces mêmes écrits racontent que dans le haut Moyen Age, au commencement était Hanches et rien d'autre, ni le château d'Epernon, ni le petit village qu'il prit sous son aile, et qui s'est peu à peu développé avant de devenir à la fin de l'Ancien Régime une petite ville de moyenne importance.

Les carnutes qui descendaient vers le Sud découvraient après Epernon, Anchae (signifiant : terres de cultures ou de grandes cultures) du fait des immenses terres vierges, directement cultivables qu’ils y rencontraient.

Hanches s'appellera au Moyen Age, Hanchae (2) en 1114, Anchae en 1150, Aanchû en 1228, et Hanches en 1229. Il est à noter que presque toujours la basse latinité cache une racine étrangère et principalement germanique (Sparnonum et Anchae)

On ne peut imaginer l'étendue des terres de Hanches, allant jusqu'à Chenicourt (Saint-Lucien), dont le monastère de Hanches prit le nom sous la forme de Seincourt, et des hameaux d’Epernon, de Raizeux et Houdreville, qu’elles englobaient.

Ces mêmes moines du bas Moyen Age dirigeaient de vastes territoires du fait de leurs pouvoirs politique et religieux.

Hanches conserva longtemps le pouvoir sur Raizeux (3), l'Orme, les Chaises, Cady, Houdreville, que ses terres englobaient.

De nombreux hameaux ont été conservés tels Ouencé, les Loreaux, le Pâty, Morville, la Tourneuve, les Granges, le Bois de Fourches, la Savonnière, Vinerville, la Billardière, le Parc et la Barre. D'autres ont disparu comme le Rocher.

Anchae, situé sur la voie romaine venant des hauts lieux pieux que sont les abbayes de Saint-Denis et de Saint-Germain, et allant à Chartres, offrait aux voyageurs après une traversé des grandes et dangereuses forêts du Nord-Ouest, un havre de repos et de paix spirituelle, comme nous les montrent les vestiges de l'époque gallo-romaine tels le temple cultuel et le fanum, encore visibles aujourd'hui.

Des fouilles effectuées en 1976 au lieu dit « La Cavée du Moulin » à 200 mètres des précédents lieux cités, nous font découvrir la présence d'un habitat gallo-romain de la première moitié du IIe siècle, semi-enterré, situé à flanc de coteau. L'architecture et le mobilier laissant supposer un riche habitat.

Anchae ou Hanchae, était un village important en ce bas Moyen Age. La présence des moines possédant le monastère de la Trinité de Seincourt, situé au pied de la rivière Tahu (la Guesle), le démontre. C'est mêmes moines possédaient également le moulin de Seincourt datant du IVe siècle. (Chapitre XVII)

Ce qui subsista au bas Moyen Age dans le caractère particulier des deux villes de Genabum et Autricum sous les Gaulois, c'est Orléans, la cité industrielle et active, et Chartres, la ville religieuse et calme. Après l'occupation romaine et normande, les Chartrains surent retrouver l'ancienne valeur de leurs ancêtres les Carnutes. La défaite infligée en 911 aux Normands, amena ce que n'avaient pu faire soixante années de luttes incessantes, c'est à dire la soumission de ces peuples barbares et leur établissement pacifique dans le royaume carolingien de Neustrie (Normandie, Bretagne, région Centre, etc..).

Le souvenir des invasions barbares poussèrent certains seigneurs à bâtir des châteaux-forts en des points stratégiques ; les habitants recherchant une protection derrière d'épaisses murailles au moment des dangers. Les chapelles castrales devinrent des églises paroissiales, non sans une vive résistance des anciennes paroisses.

Les troubles qui régnaient dans le pays remontaient à l' an 954, année où Richard, duc de Normandie, guerroyant contre Thibault le Tricheur, comte de Chartres, entra dans le pays chartrain et y mit tout à feu et à sang. Ce fut pendant la guerre entre ces deux belligérants que la Cathédrale de Chartres fut incendiée en 973.

Pour protéger la maison royale de Saint-Léger, vers 1003, le Roi Robert, dit "Le Pieux" (970-1031) couronné du vivant de son père Hugues Capet, entreprit d'élever aux extrémités de la forêt d'Iveline, les deux châteaux forts d'Epernon et de Montfort, ceinturant ainsi de remparts ces points stratégiques qu'étaient les tours féodales d'Epernon et de Montfort, construit quelques décennies plutôt.

D'autres points fortifiés comme la Tour Neuve de Hanches dataient de l'époque de la construction de ces tours. Ces ouvrages défensifs à plusieurs étages servaient également de lieu de résidence aux seigneurs. Ces donjons édifiés en pierre, souvent de forme carrée correspondaient à la seconde ligne de défense du domaine royale du côté de la Normandie, les forteresses de première ligne couvrant le cours de l'Eure.

L'apanage de Robert, lorsqu'il fut associé à la couronne, comprenait : Senlis, Beauvais, le Vexin, l'Iveline, contrée boisée qui correspond à la forêt de Rambouillet, et Saint-Léger, le chef-lieu. Amaury Ier de Montfort et d'Epernon (992-1060) (4) , fils de Guillaume de Hainaut et époux de Bertrade Gometz de Chatel, fut un des principaux barons de la cour du Roi Robert. Ayant trouvé dans la succession de ses ancêtres le petit monastère de la Trinité de Seincourt, situé dans la paroisse de Hanches, au pied du château d'Epernon, il le donna en 1052 à l'abbaye des Marmoutiers avec toutes les terres qui en dépendaient et le patronage des paroisses de Hanches, Lormay près de Nogent-le-Roi, Prouais, Hermeray, Gazeran et Rambouillet (Rumbellitum).

Albert, abbé des Marmoutiers, fonda dans la nouvelle possession de l'abbaye, un prieuré sous l'évocation de Saint-Thomas.

Les limites de la châtellenie d'Epernon furent établies dans un acte dressé par ordre de Marguerite et Laure de Montfort, soeurs du comte Jean de Montfort qui accompagna Saint-Louis à la croisade et mourut en 1249 dans l'Ile de Chypre. Ce territoire de 31 km de long et 18 km de large n'appartenait pas tout entier à la châtellenie. Il s'y trouvait des enclaves, telle la terre du prieuré de Saint-Thomas d'Epernon.

Un des principaux devoirs féodaux était pour les vassaux, dont certains de Hanches, de venir en armes faire la garde dans le château dominant, et pour les hommes du peuple de venir au besoin travailler aux fossés du château

A cette époque, soixante et un vassaux étaient énumérés dans la châtellenie d'Epernon. Parmi eux, six devaient faire chaque année deux mois de garde au château : Amaury de Maintenon - Jean de Vacheresse - Amaury du Bois des Fourches - Simon du Bois - Simon de Merroles et Guillaume Primart. Seize ne devaient qu'un mois : Hugues de Saint-Hilarion - Hugues et Gilles de Changy - Renaud de Gas - Dreux de Raiseux - Simon d'Ameil - Geoffroi de Troussebaton - Simon de Houx - Dreux de Hanches, etc... Raoul de Seincourt ne devait que quinze jours et Raoul Perdrier devait un mois de garde à Epernon, ou dans tout autre château du comté.

L'arrangement de Béatrix de Montfort du 13.03.1311, partagea en 1317 le comté de Montfort entre ses deux filles Yolande, duchesse de Bretagne et Jeanne, comtesse de Roucy. Yolande de Dreux porta le comté de Montfort dans la famille de Bretagne qui le conserva pendant deux siècles. Ce ne fut cependant pas sans quelques interruptions.

Philippe de Valois faisait de fréquents voyages à Chartres ou dans les environs, il était à Epernon le 02.11.1334 et à Chartres le 01.10.1335, peu de temps avant son départ pour Avignon.

Le premier soin des Rois de France, à chaque guerre avec la Bretagne, était de mettre Montfort en leurs propres mains et même de le confisquer. C'est ainsi que Montfort fut quelque temps possédé par le connétable de France, Bertrand du Guesclin. Le mariage d'Anne de Bretagne l'apporta à la France, et fut réuni à la couronne en 1532.

L'année 1358 causa de grands désastres dans le comté, pendant la captivité du Roi Jean II le Bon (1319-1364). Les troupes navarraises continuèrent les dévastations commencées en 1357 avec une grande compagnie de pillards de tous pays cantonnés à Epernon. Cette bande tint les Chartrains prisonniers pendant six mois dans leurs murs et détruisit Saint-Arnoult, Gallardon, Yèvres, Cloyes et Etampes (5).

Jean II, fils de Jean Ier, comte d'Aumale, laissa deux filles : Blanche, comtesse d'Aumale et Jeanne, dame d'Epernon. Celle-ci épousa Jean VI de Vendôme dont la fille Catherine porta Vendôme et Epernon dans la maison de Bourbon par son mariage avec le comte de la Marche, le 28.09.1364. Catherine sera citée dans l'acte du 03.05.1396 concernant le moulin foulant de Vinerville à Hanches.

Cette période troublée de l'histoire chartraine venait beaucoup du caractère religieux ; L'Evêque et le Chapitre Notre-Dame étaient les maîtres absolus dans la région.

En fait de piété et de science, rien de plus parfait que nos chanoines du Moyen-Age. Mais en fait de politique et de patriotisme, il était souvent difficile de savoir précisément quel était le vrai parti national. Nos chanoines optèrent pour les Bourguignons, qui peu de temps après pactisaient avec les Anglais, et la région devenait anglaise. Mieux avisés, Orléans, Châteaudun et Vendôme étaient dévoués aux Armagnacs.

Les deux premières villes appartenaient à Charles d'Orléans, comte d’Angoulême (1391-1465) (son beau-père se nommait Bertrand d’Armagnac, d’où le nom donné au parti d’Orléans) et Vendôme à Louis II de Bourbon (V1376-1446).

A cette époque, il n'était pas bon de convoquer pacifiquement à Chartres les habitants des pays voisins. C'était chaque jour des escarmouches sur la route de Chartres à Châteaudun. Illiers, Alluyes, Bonneval étaient tour à tour pris et repris par les deux partis. Mais Orléans avait Jeanne d'Arc (V1412-1431) et Châteaudun avait Jean d’Orléans, bâtard d’Orléans, dit le Dunois (1403-1468). Avec de tels chefs, le triomphe ne faisait aucun doute. Chartres, après s'être trompé, eut du moins le bon esprit de ne pas trop s'enfermer dans son erreur, et la ville, presque sans coup férir, rentra sous l'obéissance de son souverain légitime.

Hélas, d'autres troubles s'ensuivirent après cette période. Effectivement, si l'influence de l'Evêque Jean de Frétigny avait été funeste aux Chartrains du XVe siècle, la vénération des habitants pour la Sainte Vierge, protectrice de la cité, les préserva de l'hérésie qui se répandit si rapidement en France au commencement du XVIe siècle.

Bien que la duchesse de Chartres, Renée de France, fit ouvertement profession de la religion nouvelle et que l'Evêque de Chartres, Charles Guillard, l'ami de Clément Marot, fut fortement soupçonné de favoriser les Huguenots, les Chartrains demeurèrent fidèles à la foi de leurs pères, et renouvelant les prouesses de 911, ils repoussèrent si victorieusement leurs ennemis en 1568 que la soumission des rebelles fut encore une fois la conséquence du triomphe des Chartrains

Notre région souffrit de cette guerre car le seigneur de la baronnie d'Epernon n'était autre qu'Antoine de Bourbon, Roi de Navarre (1518-1562) et chef du parti protestant, époux de Jeanne d'Albret.

Lorsqu'on rédigea la coutume de Montfort en 1556, Antoine de Bourbon était représenté à l'Assemblée « à cause de sa baronnie d'Espernon, par Nicole Bobusse, son bailli, et Estienne Chavannes, son procureur au dit Espernon ».

Antoine de Bourbon mourut le 07.12.1562, au siège de Rouen, alors qu'il s'était reconverti au parti catholique. Frappé d'un coup de mousquet qu'il l'atteignit alors qu'il satisfaisait un besoin naturel, les protestants devenus ses ennemis, lui décernèrent cette épitaphe sans pitié : « Amis français, le prince ici gisant vécut sans gloire et mourut en pissant ».

Son fils devint seigneur d'Epernon. Ce n'était autre que Henri II de Navarre, le futur Henri IV. Avec Antoine de Bourbon avait commencé la grande crise des guerres de religion qui allait désoler la France pendant trente-six ans. Un noyau de protestants existait dans Epernon et bien que la ville appartînt au chef du parti, les Huguenots n'étaient pas à l'abri des persécutions au milieu d'une population en majorité catholique et en un temps où le fanatisme religieux conduisait aux pires excès.

Tous ces grands personnages vinrent que rarement dans la région. Le château d'Epernon était ruiné et inhabitable ; seule la forêt offrait l'attrait d'une chasse giboyeuse.

Ainsi, nous lisons dans un des actes concernant l'église Saint-Pierre d'Epernon : « L'an mille cinq cent soixante et dix-huit, le dimanche 1er jour de juin, Christofle Dunon, hérétique et huguenot mourut, et le lendemain, les huguenots d'Epernon l'ont enterré au saint cimetière du Prieuré, environ quatre heures du matin. Et le dit jour de lendemain au soir, ceux dudit Epernon firent le charivari (6) pour Pierre de la Garde, et le dit charivari vint audit Prieuré et les petits enfants déterrèrent ledit Dunon et traînèrent sous la porte du bourg et le mirent en travers de la rue et y fut mis tout nu jusqu'au lendemain mardi, environ huit heures du matin et fut ledit Dunon enterré aux Ruelles, par Jean de Launay ».

Ce fut sur les instances des Orléanais que les Chartrains en 1589, accueillirent le duc de Mayenne dans leurs murs. Dès lors, les deux cités agirent de concert : leurs soldats réunis s'emparèrent en 1590 des villes royalistes de Nogent-le-Roi, Courville et Epernon. Puis, lorsque Chartres, l'année suivante, eut été pris par Henri IV, c'est à Orléans qu'ils envoyèrent Jehan d'Allonville, sire de Reclainville, pour les représenter aux Etats de la Ligue. Enfin, ils ne quittèrent la ville hospitalière que lorsqu'elle-même se fut rendue à Henri IV en 1593.

La religion réformée restait encore la foi de certains, mais de nombreuses abjurations de l'hérésie de Calvin furent constatées. Ainsi le 13.04.1620 à Hanches, nous trouvons notée l'abjuration de Jacques Dupont, fils de Gilles, âgé de 15 ans.


Saisie : Roger VASSEUR

Dernière modification : 30 Janvier 2008

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